Titre original :

Les Groupes d’Echanges de Pratiques : le ressenti des internes de médecine générale lillois

Mots-clés en français :
  • Groupes d’échanges de pratiques
  • GEP
  • pédagogie
  • vécu
  • ressentis
  • faculté de médecine de Lille 2
  • dynamique
  • enseignement

  • Tutorat entre pairs
  • Enseignement médical
  • Résidents (médecine)
  • Médecine -- Pratique
  • Groupe de pairs
  • Enseignement médical
  • Pratique professionnelle
  • Internat et résidence
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2018LILUM300
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 27/09/2018

Résumé en langue originale

Contexte : Les Groupes d’Echanges de Pratiques (GEP) ont été instaurés depuis une quinzaine d’années dans diverses facultés de médecine françaises pour s’adapter à l’évolution de l’enseignement vers le paradigme d’apprentissage. Ce travail explore le ressenti des internes de médecine générale (MG) des trois promotions de Lille 2 concernant les GEP. Méthode : Etude qualitative à partir d’entretiens semi-directifs individuels dans le Nord-Pas-de-Calais. 12 entretiens ont été conduits auprès des internes de MG des promotions MENDEL (2014), NICOLLE (2015) et OSLER (2016) de la faculté de médecine de Lille 2. Les données ont été traitées grâce au logiciel N-VIVO 11® et l’analyse des résultats a été conduite grâce à une approche par analyse thématique. Résultats : L’analyse des entretiens des étudiants a permis de théoriser la dynamique des GEP. Trois piliers étaient fondamentaux pour une bonne dynamique : la motivation / la communication / la confiance et l’esprit d’équipe. Ces trois piliers étaient interdépendants mais également influencés par de nombreux autres facteurs pouvant donc améliorer ou dégrader la dynamique d’un groupe de GEP. Selon les étudiants, l’animateur avait une place centrale dans cette dynamique. Par ses divers rôles, il devait favoriser la dynamique. Par exemple, il pouvait instaurer une ambiance conviviale au sein du groupe, ce qui favorisait le bien-être du groupe et l’esprit d’équipe. Certains internes trouvaient que leurs animateurs respectifs pouvaient freiner la dynamique par certains comportements. Un animateur trop professoral pouvait entrainer un manque de communication au sein du groupe. S’il était trop laxiste concernant la répartition des rôles, un sentiment d’inégalité entre étudiants s’installait entrainant une démotivation collective… Conclusion : La dynamique de groupe des GEP est une mécanique complexe. De nombreux facteurs semblent intervenir dans ce rouage. Selon les étudiants, l’animateur semble avoir un rôle fondamental à jouer dans cette dynamique en jouant divers rôles au sein du groupe.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Deleplanque, Denis

AUTEUR

  • Wisniewski, Pierre
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