• Langue : Français
• Discipline : Médecine générale
• Identifiant : 2018LILUM301
• Type de thèse : Doctorat de médecine
• Date de soutenance : 27/09/2018

Résumé en langue originale

Contexte : La médecine générale a profondément évolué depuis une vingtaine d’années. La prise en charge des patients tend vers une approche globale de la personne soignée avec son vécu et ses sentiments. C’est dans ce contexte qu’en 2010, le DMG Lillois a introduit les GEP, adaptés à l’enseignement par la résolution de problème. L’objectif de notre étude est de décrire les modalités de fonctionnement des groupes d’échanges de pratiques à Lille et d’étudier la recherche bibliographique menée par les étudiants. Méthodes : Un questionnaire quantitatif a été distribué en papier et numériquement via Limesurvey aux étudiants des promotions Mendel 2014 et Nicolle 2015, respectivement aux nombres de 218 et 220. L’étude est descriptive. C’est une évaluation de niveau 1. Résultats : Sur les 2 promotions le taux de sondage a été de 86,7%. Le taux de participation a été de 45,3%. (Soit un total de 209 réponses interprétables). En termes d’organisation, le roulement des rôles n’est pas assez contrôlé, le rôle du rapporteur n’a pas été compris et la synthèse quasiment jamais réalisée. Le professeur est jugé comme indispensable, il doit être présent, dynamique et partager son expérience. Concernant les sources, les étudiants ont compris l’importance d’une bonne recherche bibliographique mais les recherches sont trop souvent réalisées sur des moteurs de recherche classiques, dit web visible, moins fiables. Conclusion : Globalement les étudiants sont satisfaits des GEP et estiment qu’ils améliorent leur pratique. Il en ressort quelques pistes d’amélioration pour l’organisation. Il serait intéressant d’étudier les raisons pour lesquelles les étudiants n’utilisent que très peu le web dit invisible.

Résumé traduit

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