• Langue : Français
• Discipline : Pharmacie
• Identifiant : 2018LILUE054
• Type de thèse : Doctorat de pharmacie
• Date de soutenance : 24/05/2018

Résumé en langue originale

Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) sont représentées par deux grandes pathologies : la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique. La prise en charge thérapeutique des patients atteints de MICI a évolué ces dernières années vers une introduction de plus en plus précoce des traitements immunomodulateurs et immunosuppresseurs ainsi qu’avec l’utilisation de nouvelles biothérapies telles que l’Infliximab ou le Védolizumab. Néanmoins, il n’existe que peu de données sur le ressenti des patients face à ces nouveaux traitements. Une étude a été réalisée au CHR de Lille auprès de patients traités par biothérapie. Elle conclue que le sentiment d’avoir un traitement contraignant dépend de la biothérapie utilisée (Védolizumab ou Infliximab) et concerne en particulier la fréquence des injections et leur durée. Diminuer la durée des injections de l’Infliximab pourrait améliorer la qualité de vie des patients atteints de MICI sans augmenter le risque de réactions à la perfusion par rapport à un schéma d’injection classique chez les patients non naïfs à l’Infliximab.

Résumé traduit

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