• Langue : Français
• Discipline : Chirurgie dentaire
• Identifiant : 2015LIL2C067
• Type de thèse : Doctorat de chirurgie dentaire
• Date de soutenance : 20/10/2015

Résumé en langue originale

En chirurgie-dentaire, le contrôle de la douleur est une préoccupation aussi bien pour le patient que pour le praticien. Malgré les progrès des techniques d’anesthésie, d’analgésie et de « contrôle » de la douleur, la visite chez le chirurgien-dentiste est souvent source d’angoisses et de stress pour les patients et ce, dès le plus jeune âge, parfois même avant le premier contact avec le praticien. Le patient a donc tendance à reporter les soins jusqu’au stade fatidique de l’urgence dentaire où, confronté à un mur, il doit finalement se résoudre à aller se soigner et affronter la source de ses angoisses. Ceci augmente son stress, ce qui joue sur sa perception de la douleur et conduit au final, dans la majorité des cas, à accentuer la vision négative qu’il a de la profession. Mais, cette problématique du stress ne touche pas que les patients : ce problème est bilatéral et affecte également les praticiens, le stress du soigné se répercutant inévitablement sur le soignant. En effet, notre profession est en évolution avec un taux important de stress et d’épuisement professionnel ou « burn out », avec un taux de suicides et de procès intentés en augmentation. Ceci aboutit à rendre le métier de plus en plus exigeant, contraignant et donc stressant. Afin de répondre à ce problème, de nombreuses solutions ont été proposées et envisagées dont la sophrologie. Mais, qu’est-ce que la sophrologie? Quels sont ses principes, ses bases et ses techniques? Quels intérêts peuvent-y trouver le patient et le praticien? Comment peut-elle réellement servir notre pratique?

Résumé traduit

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