Titre original :

Comparatif de l'activité des medecins generalistes entre zones normo et sous dotées du nord pas de calais

Mots-clés en français :
  • démographie médicale
  • CESP
  • médecine générale
  • activité

  • Démographie médicale
  • Médecins généralistes
  • Consultation médicale
  • Médecine -- Pratique
  • Zone médicalement sous-équipée
  • Enquêtes sur les soins de santé
  • Consultation médicale
  • Médecins généralistes
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2016LIL2M017
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 28/01/2016

Résumé en langue originale

Résumé : Contexte : Nous sommes actuellement dans un contexte de désertification médicale. Au vu de la crainte d’engagement et du manque d’information sur les lieux d’exercices, ce projet de thèse a été réalisé pour montrer l’activité réelle des médecins généralistes du Nord pas de Calais. Méthode : Pour comparer l’activité des médecins de la région, des indicateurs faisant partis du relevé individuel d’activité et de pratique ont été choisis, tels que le nombre de consultations par an , le nombre de consultations ALD et CMU, l’âge des patriciens et le nombre d’actes par an par patients. Dans un premier temps une étude descriptive de chaque paramètre a été effectuée. Puis une étude comparative, rétrospective, à l’aide de tests de Student a été réalisée pour comparer les zones d’activités. Puis une étude quantitative bi variée a été effectuée secondairement afin de connaître les déterminants du nombre d’actes en médecine générale. Résultats : Entre les zones normo dotées et sous dotées en médecins généralistes, on ne retrouve pas de différence entre le nombre d’actes ALD, d’actes CMU-c et le nombre de consultations par patient par an. Mais il est vrai que le nombre d’actes est plus élevé en zone en difficulté (en moyenne 6002 en zone sous dotée contre 5156 en zone normo dotée) Le nombre d’actes par an est influencé par le fait d’être en zone en difficulté, par la densité de médecins, par le nombre d’actes par patient, par la part CMU-C et par le territoire luimême. Par contre, le nombre d’actes par an n’est pas influencé par les actes ALD et par l’âge des médecins généralistes. Conclusion :Les futurs praticiens ne doivent pas avoir peur de faire plus d’actes en ALD ou CMU, mais il est vrai que l’on travaille un peu plus en zone sous dotée.

Résumé traduit

...

  • Directeur(s) de thèse : Bazerbes, Annabelle

AUTEUR

  • Lefebvre, Yann
Droits d'auteur : Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.
Accès réservé aux membres de l'Université de Lille sur authentification