Titre original :

Prise en charge de l'accident vasculaire cérébral ischémique à la phase aigue en service d'urgence dépourvu de recours neurologique sur site : exemple du CHAM : étude rétrospective 2013-2014

Mots-clés en français :
  • Accident vasculaire cérébral ischémique
  • thrombolyse
  • télé-AVC

  • Maladies cérébrovasculaires
  • Ischémie cérébrale
  • Thrombolyse
  • Télécommunications en médecine
  • Hôpitaux -- Services des urgences
  • Accident vasculaire cérébral
  • Prise en charge de la maladie
  • Service hospitalier d'urgences
  • Télémédecine
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2015LIL2M246
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 14/09/2015

Résumé en langue originale

Contexte: L'accident vasculaire cérébral (AVC) est un probléme de santé publique majeur. Le traitement curatif de référence à la phase aïgue de l'AVC ischémique est la thrombolyse administrée précocément en unité neurovasculaire par un neurologue. Se développe le télé-AVC pour contrer le probléme de démographie neurologique et d'accés en urgence aux unités neurovasculaires. Méthode: il s'agit d'une étude rétrospective évaluant la qualité de prise en charge des patients atteints d'AVC ischémique aux urgences entre 2013 et 2014 avant l'installation du télé-AVC au centre hospitalier de l'arrondissement de Montreuil ( CHAM ). Résultats: l'étude porte sur 64 patients. Tous les patients ont bénéficié d'une mesure de la pression artérielle. 18,8% n'ont pas eu de glycémie capillaire à l'entrée, 21,9% n'ont pas eu d'électrocardiogramme, il n'y a aucune notification des antécédents ou traitements pour 6,3% des patients.L'histoire de la maladie est précisée pour 85,8% des patients. Un seul patient a eu une évaluation par le score NIHSS. Le délai pour l'obtention de l'imagerie est de 49 minutes sur les heures ouvrables et de 1h19 sur les heures de garde. Il varie avec le mode de transport du patient. On retrouve un compte-rendu écrit de l'imagerie validé par un radiologue pour 96,9% des patients. Conclusion: la prise en charge de l'AVC ischémique au CHAM n'est pas optimale. Le télé-AVC ne permettra de traiter efficacement ces patients que si les recommandations actuelles sont appliquées.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Patin, David

AUTEUR

  • Dubeaux, Joséphine
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