Titre original :

Evaluation du risque thrombotique et hémorragique en péri-partum au cours du syndrome des antiphospholipides obstétrical

Mots-clés en français :
  • SAPL obstétrical
  • risque hémorragique
  • hémorragie de la délivrance
  • risque thrombotique
  • antiagrégants
  • anticoagulants

  • Grossesse -- Complications
  • Anticorps antiphospholipide
  • Traitement anticoagulant
  • Antiagrégants plaquettaires
  • Thrombose
  • Hémorragie de la délivrance
  • Complications de la grossesse
  • Syndrome des anticorps antiphospholipides
  • Syndrome des anticorps antiphospholipides
  • Anticoagulants
  • Antiagrégants plaquettaires
  • Syndrome des anticorps antiphospholipides
  • Thrombose
  • Hémorragie de la délivrance
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2015LIL2M196
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 24/06/2015

Résumé en langue originale

Contexte : La prise en charge du SAPL obstétrical est bien codifiée dans la littérature, mais il n’existe aucune étude liant la gestion des traitements en péripartum et l’apparition de thromboses ou d’hémorragies. Partant de ce constat, notre étude a pour but d’étudier la prise en charge durant le péri-partum de patientes ayant un SAPL obstétrical, en particulier la gestion du traitement anti-agrégant et anticoagulant ainsi que les évènements thrombotiques et hémorragiques. Méthode : il s’agit d’une étude descriptive, rétrospective et multicentrique portant sur 24 grossesses menées par 20 femmes entre décembre 2000 et novembre 2014. Nos critères de recherche comportaient l’apparition de thrombose et de complications hémorragiques lors de la grossesse, les modalités de l’accouchement, ainsi que la gestion des traitements donnés (anticoagulants, antiagrégants) en péri-partum. Résultats : Notre étude retrouve 6 hémorragies de la délivrance (consécutives à 6 accouchements par césarienne) sans différence significative entre les césariennes en urgence et programmées. Un seul cas d’hémorragie autre a été noté. Néanmoins, dans 4 situations hémorragiques sur les 7 observées, il existait 2 injections d’anticoagulants par jour. Concernant le risque thrombotique, une seule thrombose veineuse était à noter, chez une patiente présentant la conjonction de plusieurs facteurs de risque. Conclusion : Les données de notre étude suggèrent un arrêt aussi précoce que possible des traitements entre J-10 et J-5 et une définition précise des posologies et molécules de relais. Enfin la seule complication thrombotique survient chez une patiente cumulant les facteurs de risque thrombotiques, devant faire discuter des posologies préventives type très haut risque (100 UI/kg).

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Lambert, Marc

AUTEUR

  • Joly, Etienne
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