Titre original :

Survenue de l'infection urinaire chez les enfants porteurs d'un rein unique congénital

Mots-clés en français :
  • Rein unique congénital, dysplasie multikystique, agénésie rénale, infections urinaires, cystographie, reflux vésico-urétéral

  • Rein
  • Reflux vésicourétéral chez l'enfant
  • Appareil urinaire -- Infections
  • Cystographie
  • Rein
  • Maladies du rein
  • Dysplasie rénale multikystique
  • Dysplasie rénale multikystique
  • Dysplasie rénale multikystique
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  • Reflux vésico-urétéral
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  • Reflux vésico-urétéral
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  • Infections urinaires
  • Infections urinaires
  • Infections urinaires
  • Infections urinaires
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine. Pédiatrie
  • Identifiant : 2015LIL2M040
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 16/03/2015

Résumé en langue originale

Contexte Les modalités de prise en charge des enfants porteurs d'un rein unique congénital de diagnostic anténatal sont mal définies, notamment l'intérêt du dépistage systématique d'anomalies du tractus urinaire. Le but de l'étude est de voir si le risque d'infections urinaires est le même chez les enfants porteurs d'une dysplasie multikystique (DMK) et d'une agénésie rénale (AR) pour savoir s'il existe un intérêt au dépistage systématique du reflux vésico-urétéral (RVU). Méthode II s'agit d'une étude descriptive, rétrospective, monocentrique portant sur 167 patients porteurs soit d'une DMK (n = 126) ou d'une AR (n = 41) nés entre 1999 et 2011. L'estimation de l'incidence des infections urinaires était faite par la méthode de Kaplan Meier et la comparaison en fonction de la pathologie était faite par le test du log Rank. Les 2 groupes de pathologie étaient comparés par des tests du Chi deux ou de Fisher exact pour les variables qualitatives et U de Mann Withney pour les variables numériques. Résultats 19.7% des patients faisaient une infection urinaire au cours de leur suivi, sans différence entre les enfants porteurs d'une DMK (18.4%) et ceux porteurs d'une AR (24.4%), (p = 0.52). Il n'y avait pas de différence entre les enfants ayant un RVU (31%), et ceux n'en ayant pas (24%), (p = 0.52). Il n'y avait pas de différence entre les enfants ayant reçu une antibioprophylaxie (24.6%) et ceux n'en ayant pas reçu (21.5%), (p = 0.76). Conclusion Le risque d'infection urinaire chez les patients porteurs de rein unique congénital est élevé, mais l'antibioprophylaxie ne permet pas de le prévenir. On peut donc se demander quel est l'intérêt d'un dépistage systématique du RVU dans cette population.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Lahoche, Annie

AUTEUR

  • Baricheff, Jeanne
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