Titre original :

Accessibilité des cabinets de médecine générale aux personnes à mobilité réduite : état des lieux sur la ville d'Arras

Mots-clés en français :
  • Accessibilité, handicap, cabinets médicaux, médecine générale

  • Cabinets médicaux
  • Cabinets médicaux
  • Accessibilité des services de santé
  • Personnes handicapées
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2013LIL2M139
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 13/06/2013

Résumé en langue originale

Contexte : La reconnaissance des droits des personnes handicapées a abouti en 2005 à la promulgation d’une loi pour l’égalité des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Cette loi prône notamment l’accessibilité de tous les établissements recevant du public, dont les cabinets médicaux, à l’horizon 2015. Aucune étude ne s’est intéressée à l’état d’accessibilité des cabinets médicaux dans la Pas-de-Calais à deux ans de l’échéance de mise aux normes. Méthode : Une enquête quantitative descriptive par observation directe a été réalisée auprès des 38 médecins généralistes libéraux, non homéopathes ou acupuncteurs, de la ville d’Arras. Résultats : Le taux de participation était de 76,3%. Seul 20,7% des cabinets observés respectaient les normes d’accessibilité ou nécessitaient des aménagements minimes. Sur 16 critères d’accessibilité opposables, 6 cabinets avaient entre 14 et 16 points. La moyenne était de 10,2 et un cabinet sur 4 répondait à moins de 7 critères d’accessibilité. Uniquement 40% des médecins n’étant pas aux normes envisageaient la mise en conformité de leur cabinet alors qu’ils étaient 72% à connaître les normes et 69% à connaître l’échéance. L’aspect technique des travaux nécessaires et le coût engendré par la mise aux normes étaient deux freins à la mise en accessibilité respectivement cités par 65% et 35% des médecins. 54% d’entre eux seraient favorables à une aide financière. La possibilité d’examiner les patients à mobilité réduite à leur domicile représentait également un facteur limitant (65%). L’année de construction du cabinet avant 2005 s’est révélée être un facteur de risque de non-conformité des locaux

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Messaadi, Nadir

AUTEUR

  • Domarle-Benoit, Emilie
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