Titre original :

Connaitre les motifs qui amènent le médecin généraliste à proposer un TROD VIH au cabinet médical

Mots-clés en français :
  • Tests rapides d’orientation diagnostique, VIH, médecine générale

  • Infections à VIH
  • Infections à VIH
  • Tests de diagnostic rapide
  • Médecine -- Pratique
  • Médecins généralistes
  • Infections à VIH
  • Infections à VIH
  • Connaissances, attitudes et pratiques en santé
  • Médecine générale
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2014LIL2M423
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 12/11/2014

Résumé en langue originale

Contexte Le Virus d’Immunodéficience Acquise (VIH) est connu depuis plus de 30 ans. Les stratégies de dépistage restent des éléments clés dans la prise en charge. L’apparition des Tests Rapides d’Orientation diagnostique sur le marché est une nouvelle aide au dépistage. L’objectif est de connaître les motifs qui amènent le médecin généraliste à proposer un TROD VIH au cabinet médical. Méthode : Etude quantitative descriptive de 7 mois réalisée dans deux cabinets de groupe lillois de médecine de ville. Les tests utilisés étaient les Tests INSTI. Tous patients demandeurs d’un test VIH étaient inclus à sa demande ou sur proposition du médecin. Une proposition était faite pour différentes sérologies d’Infections Sexuellement Transmissibles (IST). L’analyse statistique a été réalisée par le service de Santé Publique du CHRU de Lille. Résultats : Il y a eu 83 TROD réalisés. Les tests effectués étaient à 53% (n= 44) IC à 95% (41.8 – 63,94) à la demande du médecin et 47% (n=39) IC à 95% (36,06 – 58,02) à la demande du patient. On note que 41% (n=18) étaient pour une prise de risque supérieure à 3 mois sur proposition du médecin. Des difficultés ont été rencontrées pour 27,16% (n= 22) dont la principale était une quantité de sang insuffisante pour 90,91% (n=20) IC 95% (70,84 – 98,88). La sérologie VIH a été prescrite dans 84% (n=54), celle de la syphilis à 95% (n=61), celle du VHC à 88% (n=56), celle du VHB à 80% (n=51), celle du Chlamydia à 62% (n=38), et celle du Gonocoque à 11% (n= 7). Conclusion : Le motif principal de l’utilisation du TROD VIH au cabinet médical était indiqué dans le cas d’une prise de risque supérieure à 3 mois, dans le cadre de dépistage ou des groupes à risque, à la demande majoritairement du médecin généraliste. La faisabilité des TROD VIH en ville était certaine par les médecins généralistes.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Messaadi, Nassir

AUTEUR

  • Brefort-Martin, Antoine
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