Titre original :

Application du modèle de la cascade inhibitrice au sein d’une population du Nord de la France (partie 1)

Mots-clés en français :
  • Etude
  • modèle de la cascade inhibitrice (ICM)

  • Statistiques médicales
  • Molaire
  • Tomographie volumétrique à faisceau conique
  • Odontostomatologie
  • Anatomie humaine
  • Anthropologie dentaire
  • Émail dentaire
  • Molaire
  • Tomodensitométrie à faisceau conique
  • Odontométrie
  • Évolution biologique
  • Langue : Français
  • Discipline : Chirurgie dentaire
  • Identifiant : 2023ULILC048
  • Type de thèse : Doctorat de chirurgie dentaire
  • Date de soutenance : 26/05/2023

Résumé en langue originale

Thèse faite en collaboration avec Fabien Allart, Margaux Sandor et Louis Duchatelet. Le modèle de la cascade inhibitrice (ICM) initialement décrit par Kavanagh et al. en 2007, expliquerait le gradient de taille des molaires permanentes chez Homo sapiens suivant : M1>M2>M3, résultat d’un équilibre dynamique entre molécules inhibitrices et molécules activatrices. L’objectif de notre étude est de tester le modèle de l’ICM sur une population contemporaine du Nord de la France en utilisant des images CBCT (Cone Beam Computed Tomography) avec l’originalité de comparer deux modèles de calcul de taille de molaires : surface coronaire (méthode conventionnelle reconnue) versus volume de l’émail. Les résultats de notre étude sur cette population ne supportent pas complètement l’existence d’une ICM et suggèrent l’intervention d’autres paramètres. Par conséquent, de nouvelles recherches pourraient s’avérer utiles pour identifier d’autres facteurs et leurs interactions sur le développement des molaires chez l’homme moderne.

  • Directeur(s) de thèse : Broucker, Amélie de

AUTEUR

  • Delcour, Fanny
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