Titre original :

Des anti vitamines K aux nouveaux anticoagulants oraux : le dabigatran et le rivaroxaban appliqués à deux cas cliniques.

Mots-clés en français :
  • Anticoagulant, dabigatran, rivaroxaban, NACO, AVK.

  • Anticoagulants
  • Antivitamines K
  • Thrombophilie
  • Pharmacovigilance
  • Dabigatran
  • Rivaroxaban
  • Éducation des patients
  • Anticoagulants
  • Surveillance pharmacologique
  • Thrombophilie
  • Éducation du patient comme sujet
  • Langue : Français
  • Discipline : Pharmacie
  • Identifiant : 2014LIL2E033
  • Type de thèse : Doctorat de pharmacie
  • Date de soutenance : 28/03/2014

Résumé en langue originale

Depuis plus de 50 ans, les seuls anticoagulants disponibles par voie orale sont les anti-vitamines K (AVK) et ils constituent donc la référence des médicaments utilisés dans le traitement et la prévention des thromboses. Néanmoins, leur iatrogénie fréquente et sévère ainsi que leur maniement délicat ont poussé les industries pharmaceutiques à développer de nouvelles molécules : les nouveaux anti-coagulants oraux (NACO) et notamment le dabigatran et le rivaroxaban. La vente de ces deux médicaments progresse petit à petit depuis leur autorisation de mise sur le marché en 2008. Une analyse pharmacologique et pharmacocinétique permettra de mieux comprendre la place qu’ils occupent dans le monde de l’hématologie et de la cardiologie. Ces deux molécules présentent un certain nombre d’avantages comme une administration par voie orale, une rapidité d’action, une pharmacocinétique linéaire et prévisible et l’absence de suivi biologique. Cependant, deux éléments majeurs posent problèmes : l’absence de test biologique permettant une surveillance de l’activité anticoagulante et l’absence d’antidote spécifique ce qui impose une utilisation très minutieuse de ces NACO.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Thuillier- Houssin, Pascale

AUTEUR

  • Selosse , Julien
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