Titre original :

Place de la santé mentale en médecine générale : enquête auprès des médecins généralistes du secteur de Villeneuve d’Ascq (59G11)

Mots-clés en français :
  • Santé mentale, médecine générale, offre de soins, communication, représentations, secteur de Villeneuve d’Ascq, CCOMS, Santé mentale -- Enquêtes, Médecins généralistes, Psychiatres, Relations interprofessionnelles dans le domaine de la santé, Collecte de données, Psychiatrie, Relations interprofessionnelles

  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2013LIL2M390
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 12/12/2013

Résumé en langue originale

Objectif : L’enquête réalisée dans le secteur de Villeneuve d’Ascq (59G11) s’inscrit dans le cadre d’une enquête nationale dirigée par le Centre Collaborateur de l’Organisme Mondial de la Santé. Elle a pour objectif d’évaluer la place de la santé mentale dans la pratique des médecins généralistes en s’intéressant à leurs représentations de la psychiatrie, à leur jugement de l’offre et de l’accès aux soins, aux pathologies psychiatriques qu’ils rencontrent, à l’orientation qu’ils en font, et à la communication entre médecins généralistes et psychiatres. Les modalités pratiques d’amélioration de leur exercice sont également explorées. Méthode : Deux questionnaires explorant ces différentes dimensions ont été envoyés par voie postale, entre Juin et Septembre 2012, à tous les médecins généralistes libéraux installés dans le secteur du 59G11. Les données ont été traitées à l’aide du logiciel SAS. Résultats : L’offre de soin n’a pas évolué et est jugée insuffisante aussi bien pour les structures publiques que privées. Les médecins généralistes sont confrontés à d’importantes difficultés, comme les délais d’attente, les représentations négatives de la psychiatrie et le manque d’information. Les médecins généralistes attestent d’un manque de communication avec les psychiatres. Afin d’améliorer leur exercice, ils sont intéressés par des outils théoriques et pratiques (annuaire, guide, formations…). Conclusion : Il paraît nécessaire de continuer à diversifier l’offre de soin et de proposer des alternatives à l’hospitalisation. Impliquer le médecin généraliste dans le réseau de soins en santé mentale est primordial notamment en améliorant la communication entre psychiatres et généralistes et en proposant des outils adaptées à leurs pratiques.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Parmentier, Jean-Marie

AUTEUR

  • Prati, Angéla
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