• Langue : Français
• Discipline : Électronique
• Identifiant : Inconnu
• Type de thèse : Doctorat
• Date de soutenance : 01/01/1995

Résumé en langue originale

-40 Ghz) du polyimide à partir de lignes microrubans et coplanaires réalisées sur une structure multicouches à plusieurs niveaux de conducteurs et d'isolant (contrat avec Thomson hybride) et d'autre part la caractérisation des premiers polymères ferromagnétiques organiques à température ambiante synthétisés par le département génie des matériaux d'Alcatel Alsthom recherche à Marcoussis. A notre connaissance, les résultats obtenus sont les premiers présentes jusqu'aux fréquences de 20 Ghz, ils ont confirmé les mesures d'aimantation rémanente effectuées au laboratoire de Meudon à partir de cycles d'hystérésis. a cellule coplanaire à la caractérisation de tout type de matériaux (diélectrique et magnétique), en raison d'une meilleure concentration de l'énergie électromagnétique dans l'échantillon. Deux configurations de cellule ont été développées : dipôle (à constantes localisées) et quadripole (à constantes réparties). Les caractéristiques du matériau sont obtenues respectivement à partir des mesures du coefficient de réflexion ou de la matrice scattering en utilisant soit des relations analytiques, soit une méthode numérique l'approche dans le domaine spectral. Ces techniques de mesures à large bande de fréquences (0.05-40 Ghz) sont validées à partir d'échantillons étalons caractérisés par des méthodes classiques au laboratoire: cellules pastille, coaxiale, guides d'ondes rectangulaires. Ce travail a permis des études originales dans le cadre de différentes collaborations industrielles. Elles concernent d'une part la caractérisation hyperfréquences (0.05 Actuellement, les hyperfréquences sont de plus en plus utilisées dans des applications industrielles mettant en jeu divers matériaux dont les caractéristiques électromagnétiques doivent être connues. Notre travail est relatif à l'étude et la mise au point de nouvelles techniques de caractérisation électromagnétique de matériaux se présentant sous forme de film. Parmi les quelques techniques possibles, nous avons choisi celle utilisant les lignes plaquées (microruban et coplanaire) réalisées par dépôts métalliques des rubans conducteurs sur l'échantillon même à étudier. Une étude électromagnétique de ces cellules, en fonction de la fréquence, a été effectuée à partir soit d'une méthode analytique, soit d'une méthode numérique approché dans le domaine spectral (a.d.s). Notre contribution a consisté à étendre ces méthodes aux matériaux magnétiques. Cette étude a permis de montrer, entre autres, que la cellule microruban est plus adaptée que l