Titre original :

Évaluation du dépistage combiné par phénotypage associé au génotypage à la recherche d’un déficit en dihydropyrimidine déshydrogénase chez les patients recevant une primo prescription de fluoropyrimidine : apport du séquençage complet du gène DPYD par NGS

Mots-clés en français :
  • Fluoropyrimidine
  • génotypage DPYD
  • phénotypage DPD

  • Chimiothérapie anticancéreuse
  • Fluorouracil
  • Dihydropyrimidine déshydrogénase
  • Tumeurs
  • Fluoropyrimidines
  • Fluorouracil
  • Déficit en dihydropyrimidine déshydrogénase
  • Dihydrouracil dehydrogenase (NADP)
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine. Oncologie
  • Identifiant : 2020LILUM501
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 30/10/2020

Résumé en langue originale

Objectifs : Notre étude, rétrospective et multicentrique, s’est intéressée à analyser les données cliniques comme les toxicités et les modifications de doses de chimiothérapie à la deuxième cure de chimiothérapie chez des patients traités pour la première fois par un protocole comportant une fluoropyrimidine sur une période définie d’un an. Matériels et Méthodes : Il s’agit d’une cohorte de patient français, provenant de deux départements du nord de la France, dont les prélèvements ont été analysés par la plateforme de toxicologie et de biologie moléculaire du CHRU de Lille. Le critère de jugement primaire a été défini comme la modification de dose de fluoropyrimidine à la deuxième cure de chimiothérapie. Les objectifs secondaires comprenaient l’analyse des grades de toxicité entre la première et la deuxième cure en fonction du type de dépistage réalisés ainsi qu’un des données descriptives de la population. Résultats : Les données cliniques rétrospectives de 597 patients ont été récupérées dans 6 centres différents des deux départements français du nord et du Pas-de-Calais. Les patients inclus avaient reçu une chimiothérapie ou une polychimiothérapie entre le 1er mars 2018 et le 28 février 2019. Ces données ont permis de classer les patients dans 4 groupes : dépistage combiné, dépistage par phénotypage uniquement, dépistage par génotypage uniquement, absence de dépistage. Il n’a pas été retrouvé de différence significative entre les groupes concernant le critère de jugement principal ou en comparant les grades de toxicité 3 ou 4. Conclusion : Notre étude n’a pas pu mettre en évidence de différence de modification de dose à la deuxième cure de chimiothérapie chez les patients ayant bénéficié du dépistage combiné en déficit en DPD comprenant un séquençage complet du gène DPYD.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Carnot, Aurélien

AUTEUR

  • De Metz, Côme
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