Titre original :

Évaluation de la conformité de prescription des anticoagulants oraux directs chez les sujets âgés de plus de 65 ans atteints de fibrillation auriculaire

Mots-clés en français :
  • NACO
  • fibrillation auriculaire
  • sujet âgé
  • anticoagulants

  • Fibrillation auriculaire
  • Anticoagulants oraux directs
  • Prescription médicamenteuse
  • Fibrillation auriculaire
  • Sujet âgé de 80 ans ou plus
  • Anticoagulant
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2020LILUM198
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 18/06/2020

Résumé en langue originale

Contexte : La prescription des anticoagulants oraux directs, que sont l’apixaban, le dabigatran et le rivaroxaban en France, est en nette progression depuis leur arrivée sur le marché en 2008. Ils sont indiqués en première intention dans la fibrillation auriculaire. L’objectif est d’évaluer la conformité de prescription des anticoagulants oraux directs chez les sujets de plus de 65 ans atteints de fibrillation auriculaire dans les services de cardiologue et de court séjour gériatrique. Méthode : Étude rétrospective, observationnelle conduite dans les services de court séjour gériatrique et de cardiologie de l’Hôpital Dron de Tourcoing, au moyen d’un recueil de données, portant sur des séjours hospitaliers ayant eu lieu entre le 1er septembre 2018 et le 31 août 2019. Résultats : Sur 244 patients inclus, 175 avaient un traitement prescrit de manière adaptée et 69 recevaient un traitement non adapté. 23,4% de l’échantillon recevaient une anticoagulation sous dosée. Les patients recevant un traitement à posologie réduite présentaient un taux de prescriptions inadaptées significativement plus important (p=0,001). Par ailleurs, on ne retrouvait pas d’autre facteur de risque de mésusage. Il n’y avait pas de différence significative de mésusage entre les deux services. Conclusion : La conformité de prescription des anticoagulants oraux directs chez les sujets âgés de plus de 65 ans atteints de fibrillation auriculaire n’est pas optimale avec 28,3% de mésusage. Les erreurs sont plus nombreuses chez les patients recevant un traitement à posologie réduite.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Gallouj, Karim

AUTEUR

  • Leduc, Marine
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