Titre original :

Dépistage des infections uro-génitales à Chlamydia trachomatis, application des nouvelles recommandations en médecine générale

Mots-clés en français :
  • Dépistage
  • IST
  • chlamydia trachomatis
  • médecine générale

  • Chlamydia trachomatis
  • Infections à Chlamydia
  • Connaissances, attitudes et pratiques en santé
  • Médecins généralistes
  • Chlamydia trachomatis
  • Infections à Chlamydia
  • Connaissances, attitudes et pratiques en santé
  • Médecins généralistes
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2020LILUM312
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 23/09/2020

Résumé en langue originale

Contexte : L’infection à Chlamydia trachomatis est l’infection sexuellement transmissible la plus répandue en France, touchant principalement les jeunes femmes âgées de 15 à 24 ans. Des nouvelles recommandations de dépistage ont été élaborées en 2018 par la HAS devant une augmentation de la prévalence de cette infection, plaçant le médecin généraliste au coeur de ce dépistage. Matériel et méthode : Analyse qualitative par entretiens individuels semi-dirigés auprès de médecins généralistes installés dans le Nord et le Pas-de-Calais. Les objectifs étaient d’observer l’application des nouvelles recommandations concernant le dépistage des infections uro-génitales à Chlamydia trachomatis en médecine générale, d’en étudier les limites et de proposer des solutions pour optimiser ce dépistage. Résultats : Les médecins interrogés n’avaient, pour la plupart, pas connaissance des nouvelles recommandations concernant le dépistage des infections à Chlamydia trachomatis. Outre le manque de formation des médecins généralistes à ce sujet, la faible connaissance de cette IST par la population générale représente un frein au dépistage. Les difficultés à aborder le sujet, le manque de temps, le coût sont d’autres limites rapportées dans notre étude. Des solutions comme l’information des patients au sujet de cette IST (via les médias et les réseaux sociaux), une meilleure formation des médecins généralistes mais aussi un accès facilité au dépistage sont proposées afin d’améliorer le dépistage. Conclusion : Une meilleure communication, auprès des médecins généralistes mais aussi des patients, semble essentielle afin d’optimiser le dépistage des infections urogénitales à Chlamydia trachomatis et limiter le risque de complications liées à cette infection.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Durand-Cheval, Clotilde

AUTEUR

  • Hemelsdael, Cécile
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