Titre original :

Accessibilité au dispositif «Sport sur Ordonnance» des personnes atteintes de la maladie de Parkinson vivant en métropole lilloise

Mots-clés en français :
  • Sport sur ordonnance
  • Parkinson
  • activité physique adaptée
  • médecine générale
  • accessibilité

  • Maladie de Parkinson
  • Activité physique adaptée
  • Thérapeutique par le sport
  • Ordonnances médicales
  • Maladie de Parkinson
  • Traitement par les exercices physiques
  • Sports
  • Ordonnances
  • Accessibilité des services de santé
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2020LILUM292
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 17/09/2020

Résumé en langue originale

Introduction : Le « Sport sur Ordonnance » est entré en vigueur, le 1er mars 2017. La maladie de Parkinson ne permet pas toujours d’avoir une activité sportive dans des conditions ordinaires. En conséquence, elle entre dans le cadre de la prescription de l’activité physique adaptée (APA). Le but de cette étude est d’obtenir un regard croisé entre les Malades, leurs aidants et les médecins généralistes vis-à-vis de l’accessibilité à l’APA en 2020, en Métropole Lilloise. Méthodes : Une étude mixte (quantitative et qualitative), par questionnaires anonymes standardisés, a été réalisée en métropole Lilloise, en avril 2019 parmi 50 patients et aidants et en janvier 2020 parmi 50 médecins généralistes. Les questionnaires ont été Transformés à l’aide du logiciel tableur Excel® de Windows® pour obtenir 2 tableaux distincts. Résultats : Le dispositif « Sport sur Ordonnance » était connu par 62% des médecins et par 47% des patients et aidants. Les 3 sports, les plus plébiscités par les patients, leurs aidants et les médecins étaient : le yoga, la balnéothérapie et la danse. La compréhension du dispositif était floue pour beaucoup de médecins et seul 3 d’entre eux, avaient déjà prescrit du « Sport sur Ordonnance ». Discussion : L’accessibilité à ce dispositif pour les patients atteints de la maladie de Parkinson semble insuffisante et difficile. L’information des professionnels de santé et des patients ainsi que la mise à disposition de structures semble également sous-optimale. Pour promouvoir ce dispositif intéressant parmi tous les acteurs du parcours de santé et de soins concernés par la maladie de Parkinson, une campagne d’information nationale, par des affiches en salle d’attente, prospectus et des messages via les médias audiovisuels, serait bénéfique.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Bayen, Sabine

AUTEUR

  • Sanzey, Guillaume
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