• Langue : Français
• Discipline : Chirurgie dentaire
• Identifiant : 2019LILUC027
• Type de thèse : Doctorat de chirurgie dentaire
• Date de soutenance : 20/05/2019

Résumé en langue originale

Les traitements prothétiques toujours plus nombreux à inclure une prise en charge implantaire ont nécessité la recherche de biomatériaux innovants en matière de préservation ou de gain osseux. En effet, le gold standard que constitue la greffe osseuse autogène présente des revers (morbidité post-opératoire du site donneur, résorption post-greffe). Les xénogreffes et allogreffes ne sont pas exemptes de risques (transmission infectieuse, réactions immunitaires). L’intérêt pour la greffe autologue d’origine dentaire, réutilisation d’un matériau issu de dents extraites, s’est manifesté dès 1990, en raison de son ostéoinduction, ostéoconduction et son excellente biocompatibilité, qualités découlant principalement de la similarité « os-dent ». Les formes disponibles, blocs, copeaux, poudres, issus de différents process, multiplient les domaines d’utilisation dans la chirurgie préimplantaire. L’état actuel des connaissances, étudié dans cette thèse, même s’il est récent, laisse présager un bel avenir à cette technique, non seulement en implantologie mais aussi en parodontologie.

Résumé traduit

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