Titre original :

Que savent les femmes ? : évaluation du niveau de connaissance des femmes âgées de 18 à 65 ans sur la physiologie gynécologique : étude qualitative

Mots-clés en français :
  • Connaissances
  • femmes
  • anatomie
  • physiologie gynécologique
  • fertilité
  • contraception
  • IST
  • ménopause
  • cancer du col de l’utérus
  • cancer du sein

  • Connaissances, attitudes et pratiques en santé
  • Femmes -- Physiologie
  • Organes génitaux femelles
  • Connaissances, attitudes et pratiques en santé
  • Phénomènes physiologiques des appareils urinaire et reproducteur
  • Phénomènes physiologiques de la reproduction
  • Système génital de la femme
  • Santé des femmes
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2019LILUM135
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 29/05/2019

Résumé en langue originale

Contexte : la vie de la femme est rythmée par des changements physiologiques. De la puberté à la ménopause, chaque mois son corps se prépare à une éventuelle grossesse. Depuis 1967 elle peut contrôler sa fécondité, pourtant le taux d’IVG reste stable. De même, il existe des moyens de prévention et de dépistage contre les IST, les cancers du sein et du col de l’utérus, et pourtant on constate une recrudescence des IST et un taux de participation aux dépistages insuffisant. Notre travail s’intéresse aux connaissances des femmes sur la physiologie gynécologique. Méthode : il s’agit d’une étude qualitative par entretiens individuels semi-directifs auprès des femmes de 18 à 65 ans, recrutées par la méthode de proche en proche. Les entretiens étaient enregistrés puis retranscrits en verbatim. Une triangulation des données et une analyse thématique via le logiciel NVivo ont été réalisées. Résultats : 15 femmes ont participé à notre étude. On retrouve des lacunes dans les bases anatomo-physiologiques pouvant entrainer des méconnaissances sur la fertilité, la contraception et la ménopause. On note une réticence vis-à-vis de la contraception hormonale alors que les moyens contraceptifs ne sont pas forcément bien connus. Le rôle du FCU semble abstrait et elles n’ont pas conscience qu’une IST peut être asymptomatique, ce qui peut entrainer des freins dans les différents dépistages. Conclusion : les femmes de notre étude se sentent suffisamment informées. Il est donc primordial de revoir avec elles ce qu’elles savent et de reprendre la physiologie gynécologique à l’aide de schémas.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Hannequart, Philippe

AUTEUR

  • Marchand, Julie
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