Titre original :

Que sont devenus les médecins inscrits au DIU de formation complémentaire en gynécologie et obstétrique à la faculté de médecine de Lille depuis sa création ?

Mots-clés en français :
  • DIU de formation complémentaire en gynécologie et obstétrique
  • santé des femmes
  • démographie médicale
  • soins primaires

  • Médecins généralistes
  • Gynécologie
  • Enseignement de la médecine
  • Démographie médicale
  • Médecins généralistes
  • Formation continue
  • Gynécologie
  • Santé des femmes
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine générale
  • Identifiant : 2018LILUM096
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 19/04/2018

Résumé en langue originale

Contexte : En France, le type et l’activité des médecins généralistes qui réalisent les soins de santé primaires en gynécologie-obstétrique est peu connue. Objectif : Connaître les pratiques et les attentes des médecins inscrits au DIU de formation complémentaire en gynécologie-obstétrique dans la région française du Nord Pas de Calais. Matériel et Méthodes : Enquête par questionnaire postal auprès des 342 médecins inscrits à ce diplôme entre 2002 et 2015 à la Faculté de Médecine de Lille. Résultats : Parmi les 342 médecins inscrits pendant la période de 13 ans, 265 ont pu être retrouvés et contactés (77%) et 147 ont répondu au questionnaire (56%). Il s’agissait principalement de médecins de moins de 40 ans (74%) et majoritairement de femmes (86%). Parmi ceux qui étaient installés, la plupart exerçaient dans le secteur libéral (69%), la moitié au sein de la communauté urbaine de Lille (52%). Chaque médecin consacrait en moyenne 10 heures à la gynécologie-obstétrique par semaine (22% du temps travaillé) et plus d’un médecin sur deux indiquait que les connaissances acquises au cours du DIU leurs étaient très utiles (58%). Le frottis et la pose d’implant étaient maîtrisés par plus de 80% d’entre eux, mais seulement la moitié posaient des dispositifs intra-utérins. Enfin, la plupart se sont fait connaître par le bouche à oreille (86%) mais les trois quarts sont favorables, très favorables ou impatients à ce que leur plaque professionnelle les fassent connaître. Conclusion : Les médecins du DIU de formation complémentaire en gynécologie-obstétrique sont jeunes, de sexe féminin et exercent en moyenne 10 heures de gynécologie par semaine. La plupart aimerait se faire connaître auprès des femmes.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Subtil, Damien

AUTEUR

  • Pechon-Dambricourt, Clara
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