Titre original :

Epidémiologie des urgences chirurgicales de la main de l’enfant : étude prospective sur 10 mois dans deux centres de référence lillois

Mots-clés en français :
  • Epidémiologie
  • enfant
  • plaie de main
  • urgences
  • chirurgie
  • anesthésie

  • Main
  • Enfants -- Lésions et blessures
  • Adolescents
  • Urgences en chirurgie
  • Blessures de la main
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  • Blessures de la main
  • Blessures de la main
  • Blessures de la main
  • Médecine d'urgence pédiatrique
  • Langue : Français
  • Discipline : Médecine. Chirurgie générale
  • Identifiant : 2018LILUM053
  • Type de thèse : Doctorat de médecine
  • Date de soutenance : 28/03/2018

Résumé en langue originale

Contexte : Les lésions de la main sont parmi les lésions les plus fréquentes chez les enfants. L’objectif principal de l’étude était d’étudier de façon prospective l’ensemble des lésions de la main de l’enfant nécessitant une prise en charge chirurgicale en urgence. Méthode : Il s’agissait d’une étude épidémiologique descriptive, prospective entre janvier et octobre 2016, dans deux centres de référence lillois de la main de l’enfant. Étaient inclus les enfants de moins de 15 ans et 3 mois, nécessitant une prise en charge chirurgicale pour une lésion de la main. Les caractéristiques de survenue et de prise en charge des lésions étaient analysées, selon quatre groupes d'âges, à l’aide de questionnaires remplis par les parents et le chirurgien. Résultats : Étaient inclus 245 patients (âge moyen 6,4 ans, 55% de garçons). Avant 10 ans, on retrouvait 43% de doigts de porte/écrasements et 30% de panaris/infections, survenant dans 69% des cas au domicile. A partir de 11 ans, on retrouvait 31% de fractures/luxations et 35% de plaies, survenant au sport (26%) ou dans la rue (18,5%). Les morsures étaient rares (2%). Quel que soit l’âge dans 35% des cas les lésions étaient secondaires à un traumatisme avec une porte et dans 49% des cas un adulte était présent. Pour 20% des patients une anesthésie générale était réalisée et pour 81% il s’agissait d’une anesthésie locorégionale. Conclusion : Nous pensons que l’incidence de ces lésions pourrait être diminuée avec un renforcement des efforts de prévention des risques et de la sensibilisation du public.

Résumé traduit

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  • Directeur(s) de thèse : Mézel, Aurélie

AUTEUR

  • Dizin, Frédérique
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